J’ai reçu lundi le Nokia N9, le premier et probablement le dernier appareil du Finlandais a être propulsé par le système MeeGo, développé en partenariat avec Intel. Comme l’avais promis le constructeur, il est excessivement dépouillé et ne présente aucun bouton en façade.
Monobloc, on a presque l’impression d’avoir un monolithe entre les mains, le tout étant arrondi sur les plus longs côtés. Entièrement en métal, il donne une belle impression de solidité. Au dos, le capteur de huit millions de pixels est complètement intégré dans le corps de l’appareil. Superbe.
L’insertion de la micro carte SIM n’est pas forcément évidente. J’ai dû en chercher l’emplacement. Même le connecteur micro-USB est dissimulé sous un capot, bien fini d’ailleurs. Après la configuration du démarrage, je découvre donc le système MeeGo 1.2 Harmatan.
Hyper-réactif !
Et c’est un petit choc. C’est peut-être un des systèmes les plus réactifs que j’aie vu jusqu’ici. Nokia arrive enfin, après tout le monde, à proposer sous un magnifique écran Amoled de 3,9 pouces, un cellulaire hyper-réactif. Même le navigateur internet dépasse tout ce que j’ai vu chez ce constructeur…
Le système Swipe, qui permet de passer d’un écran à l’autre est des plus fluides. Il faut cependant parfois apprivoiser son fonctionnement. Une page liste toutes les applications ouvertes et permet de basculer instantanément du navigateur aux paramètres ou à certains jeux… Disponible en Suisse dès 748 francs.
Premiers pas très prometteur, suite du test d’ici vendredi…