C’est une des grandes sorties de l’automne: il n’y a pas que l’iPhone 5. Sony lance en Suisse, notamment avec la complicité de Swisscom, l’Xperia T que nous avons aperçu à l’IFA 2012 de Berlin. L’opérateur en proposera en exclusivité l’édition Syfall 007, le cellulaire de James Bond! Ah, le marketing de Sony, également producteur de films…
Ce smartphone possède un capteur de 13 millions de pixels, une puce NFC, un processeur à deux cœurs de dernière génération à 1,5 Ghz et un magnifique écran de 4,6 pouces… Propulsé par Android 4.0.4, cette boule de nerfs migrera rapidement vers Android 4.1, selon le constructeur. Disponible dès fin octobre, il sera proposé au prix de 579 francs suisses.
Sony repense encore une fois son design
Encore une fois, dès la prise en mains, on réalise que Sony parvient à réinventer son design. Il allie un dos arqué à une façade légèrement biseautée. Ce choix élégant montre qu’à l’heure où certains assembleurs de smartphones en panne d’innovation ressortent pour la nième fois le même design, il est possible de toujours se renouveler, ou de se réinventer lorsqu’on travaille un peu…
Côté ergonomie, on constate que les boutons physiques ont totalement disparu de la façade avant pour être intégré directement dans la partie logicielle. Un choix là aussi résolument moderne. Conséquence: ils s’adaptent à la rotation du téléphone. Un vrai plus par rapport à l’Xperia Ion dont la réactivité des touches était discutable. Le matériau résolument moderne utilisé pour le dos du cellulaire en garantit une bonne et chaleureuse prise en mains.
Un écran très lumineux
La réactivité globale du cellulaire dont il n’est pas possible de changer soi-même la batterie (dommage) est remarquable. L’écran de 4,6 pouces profitant de la dernière évolution du Mobile Bravia Engine de Sony semble particulièrement lumineux. A tester au soleil… Son mode plein écran permet de surfer avec une aisance certaine. Rien à voir avec certains écrans étriqués.
Mais que vaut le capteur photo bénéficiant d’une résolution de 13 millions de pixels (encore une innovation que seul un vrai producteur de composants peut proposer)? Qu’en est-il particulièrement de sa réactivité et de sa sensibilité en basse lumière? Peut-on le comparer au Samsung Galaxy SIII voire au Nokia 808 pureView?
Suite du test la semaine prochaine
Xavier Studer