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High-tech: et voici le réveil olfactif Sensorwake…

Sensorwake: le réveil qui vous mettra de bonne humeur en diffusant le parfum d'un café chaud...
Sensorwake: le réveil qui vous mettra de bonne humeur en diffusant le parfum d’un café chaud…

Ce réveil-matin, également disponible en Suisse, a déjà fait sensation sur moult marchés. Après la diane au clairon ou l’éveil provoqué par de la lumière, Sensorwake donne la possibilité de se réveiller en se délectant des fragrances d’un expresso, de croissants chauds ou de toasts grillés, voire de chocolat.

Pris en mains à l’IFA 2017 de Berlin, ce petit objet ressemble à s’y méprendre à un réveil conventionnel. Cubique, il nécessite une alimentation en électricité pour illuminer son petit écran LCD et pour provoquer la diffusion de divers arômes dans un rayon de 1,5 mètre.

Des parfums signés Givaudan

Il est en effet possible de faire diffuser par Sensorwake non seulement les arômes alimentaires susmentionnés, mais aussi les parfums évocateurs du bord de mer, d’herbe coupée ou de menthe. Des senteurs produites en France par le leader du secteur: Givaudant.

A Berlin, je dois dire que je n’ai pas forcément été positivement impressionné par ces parfums, mais l’environnement ne s’y prêtait pas et le stand n’était pas encore pleinement fonctionnel. A noter que les capsules seraient 100% recyclables. Mais pourquoi une telle débauche technologique?

Sensorwake: le réveil olfactif pour vous lever du bon pied!

Pour un réveil de bonne humeur?

«Dans notre mémoire, odorat et émotions sont intimement liés. Les odeurs plaisantes sélectionnées sont toutes étudiées pour faire renaître vos plus belles émotions et les doux souvenirs que vous y associez. C’est ainsi que… comme par magie, votre cerveau répond à votre odorat et vous réveille de bonne humeur et motivé!», estime Sensorwake.

Reste la question du prix. Disponible sur internet, ce produit est proposé environ 90 à 100 francs suisses dans différentes échoppes en ligne alors que chaque capsule de parfum, permettant 30 réveils, revient à quelque dix francs.

Reste une effroyable crainte… Que se passe-t-il après s’être fait réveiller par le souffle chaud d’une tasse de café et constaté que ce précieux breuvage fait défaut…

Xavier Studer, de retour de Berlin

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