La société C&O Distribution, capable d’importer légalement n’importe quel produit high-tech en toutes circonstances, a eu l’amabilité de me prêter pendant quelques heures un iPhone 5, qui arrivera vendredi en Suisse. Ce prêt de courte durée me permet de rédiger quelques impressions avant un test complet la semaine prochaine. Je n’ai pas été déçu.
Comme d’habitude, la prise en mains d’un nouvel iPhone est un grand moment. Une poignée de fidèles de la marque pommée sont d’ailleurs prêts à payer très cher pour être les premiers à saisir le smartphone le plus célèbre du monde. Et je fois dire qu’il est toujours difficile de ne pas vouloir tester rapidement ce genre d’appareils comme certains Sony ou Samsung…
La finition de l’iPhone 5 est simplement magnifique et peu de concurrents, si ce n’est peut-être Sony et Nokia arrivent à un tel degré de perfection. L’utilisation de matériaux plus modernes que le déplacé sandwich en verre est appréciable et appréciée.
Gare à la nano SIM
L’activation du smartphone nécessite une carte nano SIM que je dois dire j’ai un peu peiné à trouver. Deux opérateurs ont finalement eu l‘amabilité de me faire parvenir à temps le précieux petit bout de plastique. Le démarrage est un réel plaisir et il est possible d’importer avec une facilité déconcertante tous les contenus présents sur les différents appareils liés à son compte iTunes.
Plus long et aussi plus léger, cet iPhone 5 peut parfois poser de petits problèmes d’utilisation pour ceux qui ont de petites mains. Certains problèmes ergonomiques sous-jacents prennent un peu plus d’ampleur. Par exemple, pour atteindre le bouton retour situé en haut des pages: il faut donc adapter sa manière de tenir le combiné. On s’y fait toutefois après un petit temps d’adaptation. D’autres modèles encore plus grands ont aussi leurs travers…
Encore plus rapide
Le nouveau processeur à deux cœurs donne encore plus de fluidité et de réactivité à l’interface la plus célèbre du monde, même si tout cela fonctionnait déjà très bien avant sous iPhone 4 et iPhone 4S. Avec iOS 6, l’iPhone 5 est un modèle du genre. Il me semble qu’il n’y a que certains Windows Phone et les Android de Sony qui arrivent à de tels résultats.
Ci-dessous, un second cliché qui montre ce que donne l’écran utilisé en mode paysage. Comme on le voit, comparativement à un Galaxy SIII, on retrouve les mêmes limitations que sur les différents appareils dont le format s’est approché des proportions de l’iPhone 5. Dommage en passant que l’aspect des sites web ne soit pas respecté. A l’époque de toutes ces grandes théories sur l’HTML5…
Xavier Studer
Suite du test et plus d’informations la semaine prochaine…
