Le service de streaming vidéo Netflix a été lancé il y a un peu plus de deux mois en Suisse et en France. Après trente jours de gratuité, la prestation est facturée un peu moins de 13 francs par mois. Le catalogue proposé a suscité de nombreuses critiques sur internet, y compris dans cette colonne.
Récemment, j’ai par exemple constaté que même un vieux film comme Titanic, dont je ne possède la reproduction qu’en DVD et non en Blu-ray, n’était pas du tout disponible sur la plate-forme qui poursuit son expansion dans de nouveaux pays. Si vous n’êtes pas content, faites-vous entendre!
Désinscription très simple et rapide!
En effet, il est possible de résilier son abonnement à tout moment et de le reprendre à n’importe quel instant. Le minimum à faire est de résilier si l’on constate que l’on ne l’utilise pas et de souscrire à nouveau avant une période qui serait plus faste. Et si vous êtes déçu par le catalogue, il est également possible de se faire entendre!
En effet, au terme du bref processus de désinscription, l’internaute se voit proposer d’expliquer le motif de sa résiliation. Dans mon cas, comme le montre la capture d’écran ci-dessus, j’explique que l’offre ne me convient pas dans tous les domaines. Pas assez de contenus sont disponibles dans les différentes catégories proposées. Il faut d’ailleurs probablement concentrer son tir sur ce motif, pour avoir plus de poids.
La riposte est en cours
N’hésitez donc pas à faire connaître votre mécontentement. En effet, la lutte sera dure en Suisse puisqu’UPC Cablecom propose déjà un service concurrent du nom de MyPrime qui semble réunir davantage de titres plus récents. A découvrir sur cette page.
Du côté de Swisscom, la riposte s’organise aussi. Selon des rumeurs le puissant opérateur préparerait le lancement d’une offre pour le 2 décembre. Actuellement, le catalogue de test ne serait disponible qu’en allemand. A suivre. Netflix a donc tout intérêt à améliorer rapidement son offre au risque de perdre tous ses abonnés helvétiques, voire français…
Xavier Studer