Même si le nom d’Intel n’est pas cité dans le communiqué de presse présentant les tablettes de troisième génération de Samsung, c’est bien un processeur Intel qui équipe le modèle de 10.1 pouces. Le fondeur le confirme d’ailleurs ici sur son site internet et liste ses derniers succès.
La veille, je parlais déjà ici du Fonepad d’Asus qui profite lui aussi d’une puce du premier fondeur mondial. Progressivement, on constate que l’Américain équipe un porte-folio d’une bonne dizaine de modèles de tablettes et de smartphones. Ses solutions rivalisent désormais clairement avec les puces ARM. Conséquence?
Moins de mémoire sur les Galaxy
Visiblement l’intégration de ces puces (et parfois du modem ou de la solution 4G / LTE d’Intel) semble se traduire par une baisse de la mémoire vive intégrée. Alors que la tendance était encore il y a peu de mettre à disposition jusqu’à 2Go de mémoire vive sur différents smartphones, comme le Galaxy S4, on constate la Galaxy Tab 10 ne possède qu’un G0. Une conséquence de cette nouvelle architecture?
Pas certain. En effet, la Galaxy Note de 8 pouces possède quant à elle 1,5Go de mémoire. On se demande si Samsung n’essaie pas par tous les moyens de limer sur les coûts ou de gagner de la place partout ou c’est possible pour produire des modèles plus fins. Espérons que ces limitations ne posent pas de problème de mises à jour ultérieures… Quant à Intel, il semble désormais remporter des victoires avec les plus grands…
Xavier Studer
