En mains de Google, Motorola Mobility, organise le buzz autour de son prochain superphone le Moto X, qui ne fait rien d’autre que la une de son site américain. Il faut dire que le numéro un de la recherche va y mettre les moyens, c’est-à-dire jusqu’à 500 millions de dollars, selon le Wall Street Journal.
Un chiffre inédit pour la société de Mountain View très avare en matière de publicité, ce qui ne l’a pas empêchée de devenir le géant que nous connaissons tous… Cette somme devrait être injectée aux Etats-Unis et en Europe. Dans l’intervalle, l’ancien patron Eric Schmid a déjà lancé les hostilités et y va de sa personne…
La photo qui en dit long!
On trouve en effet sur la toile le tweet de cette photo d’excellence qualité qui montre le ponte de Google avec un smartphone qui devrait bien être le Moto X, déjà officialisé à cette occasion par le constructeur mythique de cellulaire qui promet une conception et une fabrication 100% US dans une bonne usine texane! Un argument qui semble porter aujourd’hui aux Etats-Unis.
Pour se démarquer de ses concurrents, Google devrait permettre à ses futurs clients de personnaliser la couleur de la coque et de le faire graver (comme Apple). S’il va jouer la carte de la personnalisation, comme le fait comprendre cette première publicité, personne ne sait jusqu’où il ira sur ce créneau très intéressant qui lui permettra de se positionner clairement par rapport à certains produits un peu trop «soviétiques»…
Fonctions inédites?
D’autres rumeurs font état de l’utilisation inédite et intensive de la myriade de capteurs que possèdent des smartphones à jour comme le Samsung Galaxy S4 (température, humidité, pression…) Grâce à ceux-ci et à des algorithmes inédits, ce smartphone serait capable d’anticiper certains mouvements…
Motorola a pensé à tout puisque la une de son site permet de s’inscrire à une newsletter qui nous informera des prochaines étapes ou du lancement. Connaissant le rôle pionnier de Motorola sur Android, ses capacités technologiques (coques en Kevlar), on se dit que ce lancement pourrait faire très, très mal…
Xavier Studer