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Roaming: n’oubliez pas les cartes SIM de style Transatel!

Dangereux roaming...
Dangereux roaming…

Le roaming a permis aux opérateurs de traumatiser les mobinautes pendant de trop longues années. Heureusement, des cartes SIM alternatives (ou locales) permettent un semblant de concurrence, comme celles de Transatel. Ci-dessous, en italique, le témoignage intéressant d’un internaute pour nous le rappeler…

En prévision des vacances à l’étranger, j’ai commencé par rechercher dans votre blog des solutions pour abaisser les coûts du roaming. En effet, j’ai un abonnement Swisscom sans forfait de données à l’étranger et leurs propres forfaits de données sont assez chers.

 N’ayant pas de eSIM (je possède un Samsung A33 5G), je n’ai pas pu profiter des offres que vous annonciez, j’ai donc continué mes recherches sur Internet et je suis tombé sur les propositions de Transatel (solution DataSIM), dont vous parlez souvent pour les forfaits frontaliers.

Cartes SIM + frais + 3 Go pour 12 euros…

 Je tenais par ce message à vous faire part de mon entière satisfaction de ce prestataire. J’ai commandé une carte SIM (tous formats) avec un forfait de 3 Go de données pour toute l’Europe et d’une durée de 1 mois pour à peu près 12 euros. J’ai reçu la carte 3 jours après par la poste, avec les instructions d’utilisation qui sont assez simples.

 Alors bien sûr, il faut posséder un deuxième emplacement de carte SIM, mais une fois l’activation effectuée (depuis la Suisse, le jour avant le départ), il me suffisait de configurer mon smartphone pour qu’il utilise la carte SIM n° 2 pour les data et d’activer le roaming et le tout était joué.

Un exemple édifiant!

A l’étranger, si j’avais besoin d’Internet, il me suffisait d’activer les données et je pouvais surfer, puis désactiver les données. Très pratique! A noter que pour un séjour de 2 semaines, je n’ai utilisé que 0,13 Go… Il est facile d’effectuer un suivi avec l’app de Transatel qui nous dit en permanence et en temps réel ce qu’il nous reste du forfait.

Cet exemple est édifiant! En effet, alors que presque tous les Helvètes déboursent généralement tous les mois plusieurs dizaines de francs pour leur abonnement mobile, souvent après avoir payé leur carte SIM entre 40 et 60 francs, on leur demande encore entre 30 et 70 francs pour ce volume de 3 Go (et sans frais de port…) Le marché suisse des télécoms ne serait-il pas pourri? Visiblement, la concurrence ne marche pas.

Xavier Studer

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