Pour la deuxième année consécutive, la Suisse se maintient à la 5e place du classement mondial de la compétitivité numérique, publié par l’International Institute for Management Development (IMD) de Lausanne. Un résultat qui peut surprendre dans le contexte actuel.
Ce classement évalue la capacité et la volonté d’une économie d’utiliser et d’explorer les technologies numériques comme principal moteur de transformation économique pour les entreprises, les pouvoirs publics et la société en général, selon un communiqué de presse diffusé en fin de semaine. Le classement complet en ligne.
Dans les 10 premiers
La solide position de la Suisse dans le classement s’explique en grande partie par l’excellente évaluation du facteur «connaissance», défini comme «le savoir-faire nécessaire pour découvrir, comprendre et développer de nouvelles technologies». La Suisse se classe dans le top 10 dans toutes les sous-catégories du domaine de la connaissance, en particulier en ce qui concerne les talents, où elle occupe la deuxième place, selon le document ci-dessous aussi disponible à cette adresse.
Cependant, le rapport souligne également des domaines d’amélioration pour la Suisse. L’attitude de la population vis-à-vis de la technologie présente un grand potentiel d’amélioration, la Suisse occupant la 16e place dans ce domaine. De plus, la Suisse doit s’améliorer dans les catégories de la cybersécurité (20e place) et des capacités de cybersécurité de l’État (28e place).
L’impact de l’IA générative
Fin novembre, une table ronde de haut niveau a permis de mettre en lumière la manière dont les technologies disruptives telles que l’IA générative pourraient avoir un impact sur la compétitivité numérique de la Suisse. Les participants ont discuté de l’impact de ces technologies sur le monde du travail et sur la formation continue.
Au final, bien que la Suisse se maintienne à une position respectable dans le classement de la compétitivité numérique, elle doit encore relever des défis importants pour améliorer son classement. L’adoption de technologies disruptives comme l’IA générative et l’amélioration de l’attitude de la population vis-à-vis de la technologie sont des facteurs clés pour y parvenir.
XS avec Perplexity.com
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attention à cette idéologie du tout numérique:
https://fr.wikipedia.org/wiki/Temp%C3%AAte_solaire_de_1859
Peut-on avoir le lien qui mène au document (source) ? Merci 🙂
Le communiqué figure en lien. J’ai rajouté celui sur le rapport concernant la Suisse reproduit ci-dessous ainsi que le lien sur le classement général.
Effectivement !
De nos jours, la même tempête solaire aurait des conséquences cataclysmiques sur notre planète et nous ferrait revenir au moyen age en quelques mois, avec à la clé des millions de mort.
Dans le pire cela pourrait même déclencher « un hiver nucléaire » qui marquerait la fin de l’humanité.
Seul des insectes et certains animaux ultra résistant survivraient…..
Ne vous en faites pas Tricoline. La Suisse est pleine de talents et de survivors qui seront faire face à cet « hiver nucléaire ». Notre espèce, l’homo sapiens, existe depuis près de 300’000 ans, et a braillement survécu à la dernière période glaciaire du Pléistocène dans les Alpes. Qui plus est, l’IMD nous classe comme la 5ième nation au classement mondial de la compétitivité numérique (tout en mettant des score de nulos pour la Chine, le Vietnam ou tout autre pays communiste ou tout pays anti-USA), ce qui j’en suis sûr, nous permettra de trouver les solutions pour vaincre la prochaine période de glaciation et ainsi éviter la fin de l’humanité.