
J’ai craqué cette semaine. J’ai installé macOS 26 Tahoe sur un de mes MacBook Pro, en l’occurrence une machine de «secours», soit un modèle 2020 avec 32 Go de mémoire vive et animée malheureusement par un Intel Core i7, la dernière machine à souffrir d’un processeur qui est un vrai radiateur!
Evidemment, j’écris ces lignes sur un MacBook Pro plus moderne animé par un vrai microprocesseur performant, soit une puce M4 Pro (Apple Silicon), qui est resté sous macOS Sequoia 15.6.1. En effet, il est toujours pour le moins hasardeux de foncer sur la dernière version de macOS, notamment pour des questions de compatibilité…
Une longue phase d’optimisation…
Quoi qu’il en soit, la migration de ce MacBook Pro 2020 possédant par ailleurs un SSD de 1 To et quatre ports Thunderbolt 3 s’est passée sans problème. Après l’installation, les différents processus d’indexation, de mise à jour et autres ont tout de même duré de longues heures, comme à chaque migration majeure. Tous les détails de macOS Tahoe.
Après cette phase d’optimisation inévitable, j’ai constaté que les performances de l’appareil étaient un peu meilleures qu’immédiatement après la migration. Toutefois, il me semble que le système a tout de même perdu un peu en réactivité, malgré sa grosse configuration. Je perçois passim de petites latences et lags. Espérons qu’Apple optimise cette «évolution majeure», puisque le numéro de version a progressé de 11 points…
Prochaine optimisation?
Au quotidien, je dois avouer que le déploiement de Liquid Glass constitue une vraie plus-value esthétique et fonctionnelle. Copiant tout de même un peu Microsoft (de plus en plus dangereux), Apple propose désormais notamment une meilleure gestion de la division de son écran en différentes zones. En effet, ces barons du logiciel se copient tous toujours et en permanence.
Finalement, je pense que la présentation des applications et l’optimisation de Spotlight constituent de véritables avancées pour Apple, comme la possibilité de personnaliser les icônes. Comme je l’ai déjà écrit, même si c’est très personnel, Apple élève réellement ses systèmes à un niveau «artistique». Bravo.
Xavier Studer
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Il est dommage que les éditeur alourdissent sans cesse leur système. Pour s’en convaincre, il n’y a qu’à regarder la fiche technique des différentes versions de Linux. Ces spécifications débutent avec un processeur mono-cœur, 1 Go de RAM et 4 Go d’espace disque pour des systèmes comme Clear Linux. Avoir des saccades sur un macBook Pro, même de 2020 est en fait assez lamentable!
OK, mais chaque fois que j’ai voulu passer sur un Ubuntu, par exemple, j’ai eu des problèmes de drivers et d’imprimantes. Alors, OK, c’est sympa, mais ça marche quand même pas très bien ces Linux. Un peu de la bricole pour bidouilleur, non?
L’installation de cette nouvelle version m’a valu un plantage massif alors que tout avait été fait en bonne et due forme. Je ne comprends pas les réactions positives autour de l’esthétisme de cette mise à jour qui alourdit l’apparence et fait très chip. Mon finder a disparu, j’ai du faire une réinitialisation et sans mon cloud perso j’aurais tout perdu.
macOS Tahoe débloque le HDMI 2.1 via USB-C sur les Mac
Source https://share.google/xcGYws7edGRa2lS2n
Un maj ridicule. J’ai 100% d’usage cpu en idle. Je ne parle même pas des espaces mortes avec le liquid glass. On a l’impression que ça été pondu par un UI designer junior