On entend parfois dire qu’il est préférable d’acheter son smartphone chez son opérateur qui prend, par exemple, le soin de l’optimiser pour son réseau et qui configure correctement la touche «Appel d’urgence» qui est accessible depuis l’écran de veille du smartphone.

Concrètement, il faut savoir que même si l’appareil n’est pas acheté chez son opérateur, il reçoit un SMS de configuration avec les bons paramètres réseau. Ensuite, pour ce qui est de la configuration des appels d’urgence, il y en a pour quelques secondes. Mode d’emploi, pour un Samsung Galaxy, par exemple.

Listes sur internet

Généralement, ces numéros sont déjà stockés sur la carte SIM des opérateurs téléhoniques. Il est aussi possible de rajouter les numéros courts de la Rega (1414), des pompiers (118) ou encore de la police (117). On trouve d’ailleurs sur le site de la Confédération ou sur celui de la ville de Lausanne, les numéros les plus  importants.

Pour utiliser les touches préprogrammées qui sont disponibles sur certaines surcouches d’Android comme sur le Samsung Galaxy S5, il faut se rendre dans les contacts, éditer le contact et le classer sous «ICE – contacts d’urgence». Ceci, fait on peut retourner sur l’écran de verrouillage de son smartphone pour faciliter l’accès aux numéros importants.

Choisir ses numéros

Sous appels d’urgence, on peut ensuite éditer l’un des «+» pour choisir dans la liste un des contacts classés dans la catégorie ad hoc. Ces opérations ne sont pas innocentes puisqu’elles peuvent permettre de gagner de précieuses secondes ou minutes en cas de problème.

J’en profite pour signaler l’existence de différentes applications d’urgence ou médicales utiles. La Croix-Rouge suisse propose ainsi un petit programme qui donne de précieux conseils en cas d’urgence. Des urgentistes du CHUV proposent la très internationale Echo112, la Rega a aussi son application. Et puis, il existe ce programme pour vous aider à vous organiser pour donner votre sang.

Xavier Studer