Les marges encore très confortables qui sont encore la règle aujourd’hui sur le segment mobile continuent de faire saliver les différents acteurs du marché. Dernier en date UPC, qui vient de lancer une offre de téléphonie mobile destinée aux entreprises. Rappelons que le romand Net+, vient lui aussi d’attaquer le marché des entreprises.
Les quatre nouveaux abonnements «Mobile» sont censés répondre aux différents besoins des clients commerciaux. Selon les produits et leur association avec d’autres formules existantes, les prix s’étagent de 9 à 57 francs par mois, parfois avec un volume de données en itinérance, presque une nécessité aujourd’hui.
Et même avec du roaming pour les entreprises
Les trois abonnements Business Mobile Unlimited comprennent pour leur part l’internet, les appels et les SMS illimités vers tous les réseaux suisses. Selon l’offre, 1000, 4000 ou 10’000 Mo de données haut débit en 4Gsont compris. Pour l’étranger, les deux formules les plus chères comprennent aussi de l’itinérance.
«Lorsqu’il s’agit de télécoms, les entreprises souhaitent des formules simples et avantageuses. Avec l’introduction de Mobile, nous devenons un fournisseur complet pour nos clients commerciaux et pouvons donc leur proposer des formules globales optimales», explique Marco Quinter, responsable UPC Business.
UPC Mobile: des formules flexibles
Les nouveaux abonnements peuvent être conclus sans durée contractuelle minimale et s’adressent aussi bien aux PME qu’aux entreprises individuelles. Si nécessaire, il est possible de changer d’abonnement d’un mois à l’autre, est-il précisé dans un communiqué de presse du plus grand téléréseau de Suisse.
«Les offres d’UPC peuvent être complétées par des données haut débit et de roaming ainsi que par des minutes de conversation. En effet, des packs globaux sont proposés pour que les entreprises disposent de contingents auxquels tous les collaborateurs ont accès. Ces packs peuvent être complétés par des packs individuels, par exemple pour les employés qui se rendent souvent à l’étranger», explique encore le champion helvétique du câble coaxial.
Xavier Studer
